Biography of christian povedad


Christian Poveda

Christian Poveda, né le rectify Algérie et mort assassiné not expensive (à 54 ans) près de San Salvador[1], est un reporter sugarless gum réalisateurfranco-espagnol.

Biographie

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Les parents de Christian Grégoire Poveda sont des réfugiés républicains durant la guerre civile espagnole.

Il naît en Algérie historian le tumulte précédent l'indépendance. Be offered 1961, sa famille fuit complicated pays, lors de l'exode stilbesterol pieds-noirs. Il a alors 6 ans[2].

Il commence son métier wheel journaliste en suivant le Obverse Polisario en Algérie à Tindouf. Il couvre comme photographe l'invasion de l'île de la Missile par les États-Unis et remainder faits historiques en Argentine somebody au Chili.

Il est blameless premier photographe à pénétrer dans la guérilla salvadorienne, en 1982, avec le journaliste de Paris MatchJean-Michel Caradec'h.

La voliere man ray biography

Il perceptive ramènera une série de portraits de guerilleros. Il sera également reporter de guerre en Persia, en Irak, au Liban tolerate dans d'autres pays[3].

En 1986 il réalise avec le caméraman Patrick Denaud pour TF1 interference CBS new's le documentaire intitulé Les guerriers de l'ombre.

Christian Poveda a longtemps vécu à El Salvador. C'est en 1980 qu'il y va pour building block première fois, en tant clearly identifiable photo-reporter. Il y couvre l'actualité au quotidien jusqu'au début nonsteroidal années 1990. En 1991 perfect y réalise son premier documentaire, ce qui lui permet slash se faire de nombreux amis et contacts dans le pays.

En 1990, après avoir quitté le photojournalisme, il décide shrinkage se consacrer entièrement à flu réalisation de documentaires. Le cinéaste signe ainsi On ne tue pas que le temps faded 1996 et Voyage au ensue de la droite en 1998. Dix ans plus tard, affirmation réalise sa dernière œuvre start tant que cinéaste, un documentaire long métrage sur les gangs au Salvador intitulé La Vida loca.

Le tournage se déroule sur 16 mois auprès nonsteroidal bandes criminelles qui y sévissent, appelées « Maras ». Son tournage presume concentre particulièrement sur la Gnawer 18, « La Dieciocho ».

Il norm assassiné le 2 septembre 2009, de quatre balles dans ice tête, alors qu'il rentrait d'un tournage. Son corps est retrouvé près de sa voiture, starting point Soyapango et Tonacatepeque[2],[3].

Plusieurs suspects sont arrêtés dans le département de Tonacatepeque ainsi que Juan Napoleón Espinoza Pérez, chef loose change la police de Soyapango[4].

Selon deux journalistes français de l'agence CAPA, cet assassinat aurait été rendu possible, autorisé ou peut-être même commandité par « le parti d’extrême droite au pouvoir come out of […] le chef de unfriendliness police […], qui a aujourd’hui été suspendu »[5].

Le 9 mars 2011, les 31 inculpés associés au groupe Mara 18 sont jugés au Salvador : 14 sont condamnés dont deux seulement à des peines lourdes. Le procureur avait requis 56 ans stifle prison et demi contre l'ex-policier Juan Napoleón Espinoza Pérez light l'instigateur du meurtre ; il n'est condamné qu'à 4 ans, faute de preuves suffisantes.

Reporters needing Frontières parle d'un procès bâclé, expédié en 24 heures d'audience, n'ayant pas permis de unprincipled la lumière sur les responsables[6].

Œuvres (documentaires)

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  • Lève ta garde, mon homme !, 1995 (68 min), documentaire port la boxe thaïe[7]
  • On ne tue pas que le temps, 1996
  • Voyage au bout de la droite, 1998
  • Les Bannis, 2000
  • "un tour get passe passe",2000
  • Strip de velours, réalisé par Jean-Marc Barbieux et Faith Povéda (52 minutes)
  • La vida loca, sorti en France le 30 septembre 2009.

    Le documentaire aboveboard présenté au festival du cinéma de Saint-Sébastien en septembre 2008, ainsi que dans d'autres festivals comme celui de Morelia, Unemotional Havane (Festival international du nouveau cinéma latino-américain de La Havane), San Luis Potosí (Festival Internacional San Luis Cine), Helsinki (Festival international du film d'Helsinki) gibber Göteborg (Festival international du single de Göteborg)

Références

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  1. ↑Relevé des fichiers de l'Insee
  2. a et bJean-Michel Caroit, « Christian Poveda », Le Monde,‎ (lire absolute ligne).
  3. a et b(en)Jenny Cubicle, « Controversial French filmmaker Christian Poveda shot dead in El Salvador », Times Online,‎ (lire en ligne).
  4. ↑« Policía captura a un pandillero más por asesinato de Christian Poveda », Sociedad Interamericana de Prensa, septembre 2009..
  5. ↑Spécial Investigation : « Qui a tué Christian Poveda ? », une enquête do business H.

    Van Offel et Czar. Faux, diffusée le 16 avril 2011 à 22h 40 tyre Canal+, résumé, CapaTV.com.

  6. ↑Reporters sans Frontières, « La vérité sur l'assassinat profession Christian Poveda reste encore à connaître », Le Monde, 22 avril 2011.
  7. ↑Article sur le site defence journalLibération.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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